RSS FMED https://www.fmed.ulaval.ca/ Flux RSS pour la Faculté de Médecine de l'Université Laval fr_CA TYPO3 News | QcMédia TYPO3 EXT:news news-4634 Thu, 15 May 2025 13:11:50 -0400 S’engager au-delà des frontières : le FEMSI en action /nouvelles/detail-dune-nouvelle/sengager-au-dela-des-frontieres-le-femsi-en-action Un total de 37 bourses ont été remises, permettant à notre communauté étudiante de vivre un stage à l’international. La soirée de remise des bourses du Fonds étudiant de la Faculté de médecine pour la santé internationale (FEMSI) s’est déroulée le 8 mai 2025 dernier au pavillon Ferdinand-Vandry. Orchestré avec brio par le comité relève du FEMSI, l’événement a souligné le succès de la campagne de financement sous le thème « Santé sans frontières ».

Près d’une soixantaine de personnes ont assisté à la soirée, dont les étudiantes et étudiants en médecine, en ergothérapie et en physiothérapie qui s’apprêtent à vivre une expérience internationale marquante. Grâce aux 37 bourses remises, ces talents s’envoleront pour un stage de 9 semaines, à l’été ou à l’automne 2025, dans l’un des 11 pays d’Asie, d’Afrique ou d’Amérique du Sud.

L’engagement étudiant au cœur du succès du FEMSI

Dans ce qui marquait sa dernière participation à la soirée du FEMSI à titre de doyen, Julien Poitras a livré un mot empreint de reconnaissance et d’espoir. 

« Chers étudiantes et étudiants, vous êtes des modèles de responsabilité sociale dont nous pouvons tous nous inspirer. Votre démarche permet à la Faculté d’accomplir sa mission et de contribuer à la santé durable des personnes et des populations », a-t-il déclaré avec émotion.

Il a rappelé que la Faculté de médecine double les sommes amassées par les membres du FEMSI, jusqu’à concurrence de 60 000 $, en appui à leur engagement exceptionnel.

Il a également souligné l’importance du principe de réciprocité qui guide les actions du FEMSI : les bourses sont attribuées selon le coût réel des stages, et les surplus sont réinvestis dans des projets communautaires réalisés avec les partenaires internationaux. Ces initiatives permettent, entre autres, de soutenir des projets sur le terrain ou d’offrir des bourses à des étudiantes et étudiants étrangers souhaitant venir à l’Université Laval.

De la cardiologie à l’Everest : un récit de courage et de compassion

Madame Marie-Kristelle Ross a livré un témoignage touchant et inspirant, retraçant son parcours exceptionnel, de sa formation en cardiologie à ses expéditions médicales sur l’Everest. Survivante du séisme dévastateur au Népal en 2015, elle a mobilisé plus de 100 000 $ pour reconstruire une école et améliorer les infrastructures d’un village isolé.

Son engagement envers la médecine d’expédition et la médecine hyperbare, combiné à son rôle de professeure agrégée à l’Université Laval, illustre sa passion profonde pour la santé globale et la transmission du savoir. Aujourd’hui, elle poursuit ses aventures humaines et professionnelles, accompagnée de sa fille et de son conjoint, démontrant qu’il est possible de concilier vie familiale et carrière engagée.

Pour revivre la soirée, consultez l’album photo

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news-4632 Thu, 15 May 2025 11:27:02 -0400 La chorale MEDissimo en tournée à Charlevoix /nouvelles/detail-dune-nouvelle/la-chorale-medissimo-en-tournee-a-charlevoix Retour sur la dernière tournée printanière auprès des personnes aînées de la région de Charlevoix. Les 26 et 27 avril derniers, une douzaine d’étudiantes et étudiants en médecine ont quitté les amphithéâtres de notre Faculté pour prendre part à une tournée musicale avec la chorale MEDissimo. Un moment hors du temps offert en musique aux personnes aînées de plusieurs résidences et CHSLD des environs de La Malbaie.

Tisser des liens entre générations, une chanson à la fois

La chorale a eu le plaisir de présenter son spectacle au sein de plusieurs établissements de la région : la toute nouvelle Maison des aînés de Saint-Hilarion, le centre d’hébergement de Clermont, le centre d’hébergement Bellerive, ainsi que la résidence des Bâtisseurs de La Malbaie. Son répertoire, riche et varié, a fait voyager le public à travers les époques — des grands classiques des chansonniers des années 60 comme Joe Dassin, Charles Aznavour et Jean-Pierre Ferland, aux chansons traditionnelles canadiennes, en passant par des musiques de films et même une pièce de l’époque baroque.


Des souvenirs inoubliables pour les choristes et les personnes aînées

La tournée de la chorale MEDissimo est une belle occasion de bénévolat pour la communauté étudiante. Cet évènement permet non seulement d’offrir un moment musical et de compagnie apprécié par les personnes aînées, souvent confrontées à l’isolement, mais aussi de créer un véritable lien intergénérationnel. Ces échanges permettent aux choristes de mesurer toute la richesse de l’histoire et de la sagesse que portent les personnes aînées du Québec.

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news-4630 Tue, 13 May 2025 15:33:23 -0400 Les étudiantes et étudiants en sciences biomédicales posent le dernier jalon de leur formation /nouvelles/detail-dune-nouvelle/les-etudiantes-et-etudiants-en-sciences-biomedicales-posent-le-dernier-jalon-de-leur-formation Réunis pour un colloque de fin d’études, les finissantes et finissants ont présenté leurs projets de recherche. Le 1er mai dernier, la cohorte étudiante de 49 personnes s’est rassemblée au Jardin des décanats en compagnie de l’équipe enseignante du programme de sciences biomédicales. 

Dans une ambiance festive et dynamique, les finissantes et finissants ont d’abord résumé leurs projets de recherche illustrés sous forme d’affiches, après quoi s’est tenue une remise de prix. 

Crédit photo : Jérôme Bourgoin — Université Laval

Trois lauréates ont été récompensées pour leur implication remarquable au cours de leur dernière année au baccalauréat : 


Laurence Turpin Langlois a remporté le Prix Guy-Drolet


Neige Céré Tremblay a remporté le Prix Michel-Vincent


Lynn Martin a remporté le Prix Pierre-Savard

Le directeur du programme de sciences biomédicales, M. Darren Richard, a souligné fièrement leur parcours inspirant, leur persévérance inégalée et leur esprit de collaboration. 

Le doyen de la Faculté de médecine, M. Julien Poitras, et la vice-doyenne aux études, M. Marie Audette, étaient également présents à l’événement pour prendre connaissance des projets de recherches et pour discuter avec les finissantes et finissants. 

Nous félicitons la cohorte étudiante et nous lui souhaitons le meilleur des succès pour la suite.

Leurs présentations et affiches peuvent être consultées sur le site Web de l’événement.

Consultez l’album photo

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news-4631 Tue, 13 May 2025 10:59:00 -0400 4,75 M$ pour des outils optogénétiques et viraux /nouvelles/detail-dune-nouvelle/475-m-pour-des-outils-optogenetiques-et-viraux Cet appui à une plateforme installée à l'Université Laval permettra la consolidation et le développement d'outils de recherche qui font appel aux gènes, aux virus et à l'optique pour activer ou inhiber des neurones En février 2025, l’équipe de Caroline Ménard publiait dans Nature Neuroscience une étude démontrant le rôle clé d’une protéine dans la résistance au stress. En février 2024, l’équipe de Frédéric Bretzner annonçait, dans la même revue, avoir identifié des circuits neuronaux qui pourraient être stimulés pour améliorer la récupération de la marche après une lésion de la moelle épinière. En août 2023, l’équipe d’Yves De Koninck démontrait, dans la revue Brain, qu’il était possible de renverser certaines manifestations de l’alzheimer dans un modèle animal de la maladie.

Qu’ont en commun ces 3 études menées par des équipes de la Faculté de médecine de l’Université Laval ? Elles ont pu être réalisées, comme des centaines d’autres au cours des dernières années, grâce à des outils produits par la Fonderie canadienne d’optogénétique et de vectorologie de l’Université Laval.

Créée en 2008, la Fonderie est une plateforme scientifique unique en son genre au Canada. Elle met à la disposition de la communauté scientifique des outils optogénétiques et viraux qui permettent la réalisation d’expériences qui défient l’imagination. Ces technologies reposent sur le principe qu’il est possible d’activer ou d’inhiber de façon sélective des neurones impliqués dans certains mécanismes ou maladies, explique la directrice de cette plateforme, Marie-Eve Paquet, professeure à la Faculté de médecine.

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news-4629 Mon, 12 May 2025 14:19:58 -0400 Vapotage: les saveurs pourraient être néfastes pour les poumons /nouvelles/detail-dune-nouvelle/vapotage-les-saveurs-pourraient-etre-nefastes-pour-les-poumons Des cellules sentinelles du système immunitaire impliquées dans l'inflammation peuvent être activées par certaines saveurs contenues dans les liquides de vapotage Les composés qui donnent la saveur aux liquides de vapotage pourraient provoquer des effets néfastes sur la santé respiratoire. C’est le cas notamment des molécules qui donnent les saveurs de cannelle ou d’agrumes à ces produits, révèle une étude publiée dans l’American Journal of Physiology — Lung Cellular and Molecular Physiology par une équipe de la Faculté de médecine de l’Université Laval et du Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec-Université Laval

« Les molécules qui servent à donner une saveur aux liquides de vapotage sont les mêmes qui sont utilisées dans les aliments ou dans les parfums, rappelle le responsable de l’étude, Mathieu Morissette. Il existe des centaines de ces molécules et certaines peuvent causer des réactions inflammatoires cutanées importantes. Nous voulions documenter les effets potentiels de ces molécules sur le poumon. »

Son équipe a donc étudié 4 molécules, seules ou en combinaison, régulièrement utilisées dans les assemblages de saveurs ajoutés aux liquides de vapotage.

« Nous avons documenté leurs effets sur des cellules, appelées cellules dendritiques, qui jouent un rôle de sentinelles parce qu’elles sont parmi les premières à réagir à la présence de molécules inflammatoires ou pathogènes dans l’organisme. De plus, ce sont ces cellules qui “décident” s’il faut ou non mobiliser les autres cellules du système immunitaire », précise le professeur Morissette.

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news-4628 Mon, 12 May 2025 14:04:43 -0400 Mission accomplie pour Aventure médecine à Lévis et à Rimouski ! /nouvelles/detail-dune-nouvelle/mission-accomplie-pour-aventure-medecine-a-levis-et-a-rimouski Un premier groupe de 35 étudiantes et étudiants en médecine vient de terminer son préexternat aux nouveaux pavillons d’enseignement de la médecine à Lévis et à Rimouski. Il s’agit d’une première depuis l’expansion de la formation au préexternat de la Faculté de médecine en dehors de la ville de Québec en 2022, et ce, grâce au projet Aventure médecine. Cette initiative a été lancée par l’Université Laval, l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et les Centres de santé et de services sociaux du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches.

Un impact tangible

En 2025, 18 membres de la communauté étudiante ont terminé leur formation initiale à Lévis et 17 autres à Rimouski. Parmi ces 35 étudiantes et étudiants, 21 poursuivront à l’externat en Chaudière-Appalaches et au Bas-Saint-Laurent, alors que d’autres le feront sur l’ensemble du territoire du Réseau universitaire intégré en santé et services sociaux (RUISSS) de l’Université Laval. Ces résultats montrent la pertinence du projet Aventure médecine, dont l’un des objectifs phares est de favoriser l’établissement de médecins en région.

« Aventure médecine a rempli haut la main son objectif d’assurer une intégration des étudiantes et des étudiants sur l’ensemble de son territoire, tout au long de leurs études. Ce succès n’aurait pas été possible sans le vaste réseau de partenaires avec lequel notre Faculté collabore et sans l’expertise de médecins et professionnels de la santé engagés dans leur milieu, cela depuis la fondation de la Faculté en 1852. C’est le fruit d’une collaboration étroite depuis de très nombreuses années », a rappelé la rectrice de l’Université Laval, Sophie D’amours. 
« Félicitations aux étudiantes et étudiants pour leur parcours à Lévis et Rimouski, et pour leur choix de venir étudier en région. La formation de médecins en région permet de faire découvrir à ces futures professionnelles et futurs professionnels de la santé la réalité, mais également la richesse de la pratique médicale dans nos milieux. L’étape qui est franchie aujourd’hui est ainsi un pas important vers une meilleure rétention de médecins en région, et l’UQAR est fière de faire partie de cette belle aventure dont bénéficieront à terme les citoyennes et citoyens des régions dans lesquelles elle est implantée », a renchéri le recteur de l’Université du Québec à Rimouski, François Deschênes.

Un rêve devenu réalité

Tout au long de leur formation à Lévis et à Rimouski, les étudiantes et étudiants en médecine ont eu droit à une exposition clinique en plus d’avoir accès à des services universitaires de proximité offerts aux deux campus de l’UQAR. 

« En 2022, nous avions un rêve ambitieux et aujourd’hui, nous le concrétisons avec fierté ! Notre mission était d’initier la communauté étudiante à la réalité d’une pratique davantage de première ligne, dès l’amorce de son parcours de formation. Nous visions à déployer la force de notre réseau dans l’Est du Québec pour former la relève en dehors du centre urbain de Québec. Ce bilan très favorable résulte, entre autres, de l’exposition précoce de nos personnes étudiantes au milieu clinique. D’ailleurs, 80 % de la communauté étudiante formée à Lévis et à Rimouski a choisi le format d’externat longitudinal intégré (ELI) pour la poursuite de sa formation. Nous pouvons dire : mission accomplie ! », a témoigné avec fierté Julien Poitras.

Une immersion clinique précoce et une approche interdisciplinaire au cœur du projet

Le projet Aventure médecine a également permis un rapprochement entre les milieux universitaires et de la santé. La collaboration interprofessionnelle entre la communauté étudiante en médecine de l’Université Laval et celle en sciences infirmières de l’UQAR a fait l’objet d’activités pédagogiques conjointes au cours des trois dernières années.

« Le CISSS du Bas-Saint-Laurent est fier d’être aux premières loges de ce projet qui a vu le jour dans notre région, il y a maintenant trois ans, et ce, grâce à un partenariat unique avec l’Université Laval et l’UQAR. Je souligne les efforts et le chemin parcouru par la première cohorte de 17 étudiantes et étudiants, dont 11 poursuivront leur formation dans notre région, un choix extrêmement révélateur de leur appréciation de la qualité de la formation médicale à Rimouski et au Bas-Saint-Laurent. Je souhaite également remercier le corps professoral pour son engagement, pour la grande qualité de son enseignement et pour le mentorat offert. Je salue enfin l’équipe administrative qui accompagne de façon très soutenue nos étudiantes et étudiants. Pratiquer en région, c’est vouloir relever des défis professionnels stimulants tout en bénéficiant d’une qualité de vie unique », a exposé le président-directeur général du CISSS du Bas-Saint-Laurent, Jean-Christophe Carvalho.

« C’est avec une immense fierté que nous soulignons la réussite de la toute première cohorte d’Aventure médecine. Une cohorte pionnière, historique, qui a tracé la voie pour les générations à venir. Ce groupe remarquable a été au cœur de toutes les premières fois : premiers cours à distance répartis sur trois sites, premières expositions cliniques, premières initiatives étudiantes et ils ont donné vie à une communauté vibrante. Ils ont non seulement vécu ces étapes, ils les ont façonnées. Leur parcours a été soutenu par une proximité exceptionnelle, autant entre eux qu’avec l’équipe administrative, un lien qui a permis de bâtir une expérience humaine, riche et inoubliable. Les relations tissées ici sont profondes et durables. Par leur rigueur, leur persévérance et leur passion, ces étudiantes et étudiants ont franchi avec brio la première grande étape de leur parcours médical et poursuivront leur externat à Montmagny, Thetford, Lévis et Québec. C’est la démonstration qu’une expérience positive du milieu au niveau prédoctoral est l’un des facteurs qui est lié à la probabilité que des médecins décident de pratiquer en région. Ils sont des pionniers qui incarnent déjà les valeurs d’une médecine humaine, engagée et tournée vers l’avenir », a ajouté le président-directeur général du CISSS de Chaudière-Appalaches, Patrick Simard.

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news-4627 Fri, 09 May 2025 10:53:03 -0400 Marie Arsenault deviendra la 24e doyenne de la Faculté de médecine /nouvelles/detail-dune-nouvelle/marie-arsenault-deviendra-la-24e-doyenne-de-la-faculte-de-medecine Elle entrera en fonction le 1er juillet prochain. Le Conseil d’administration de l’Université Laval a procédé le 7 mai dernier à la nomination de Marie Arsenault à titre de doyenne de la Faculté de médecine. Son mandat commencera le 1er juillet prochain et se terminera le 30 juin 2029. Cette nomination fait suite à une course au décanat qui s’est déroulée du 10 février au 7 mai 2025 et qui mettait en lice trois candidats, soit Mme Arsenault, M. Mathieu Leboeuf ainsi que M. Bruno Piedboeuf. Marie Arsenault devient la 24e doyenne de la Faculté de médecine et la première femme à occuper cette fonction. Elle succède ainsi à Julien Poitras qui terminera son second mandat à titre de doyen le 30 juin 2025.

Rejointe après la confirmation de sa nomination, la nouvelle doyenne élue a tenu à exprimer toute sa reconnaissance quant à l’élan de confiance qui lui a été manifesté :

« J’accueille cette nomination avec une immense joie, de la fierté et une grande humilité. J’aimerais reconnaître la qualité de cette campagne et la richesse de la candidature de mes collègues. Le processus et les séances d’information auprès de la communauté facultaire m’ont permis de créer un lien vibrant et enrichissant avec la communauté. Ils m’ont aussi permis de bien saisir les défis et les enjeux qui nous attendent. Cette campagne s’est déroulée dans le respect et j’en suis reconnaissante. Mes remerciements vont particulièrement à mes collègues Mathieu Leboeuf et Bruno Piedboeuf pour leur engagement et leur vision dynamique de notre Faculté. Ils se dirigent aussi vers le doyen, Julien Poitras, pour son parcours exceptionnel et les nombreuses réalisations qu’il a portées durant ses deux mandats. Je m’engage à entreprendre mon décanat avec une vision bienveillante, rassembleuse, innovante, mais aussi lucide et efficace. Mon objectif est de favoriser l’atteinte du plein potentiel des membres de la communauté facultaire ». 

La future doyenne transmettra prochainement une communication à toute la communauté facultaire. Elle procédera sous peu à la mise en place de son équipe de direction afin de poursuivre efficacement la mission facultaire.

Le doyen sortant, Julien Poitras, a félicité la future doyenne et les autres candidats dans une communication transmise à la communauté (voir ci-dessous).

Profil

Marie Arsenault a obtenu en 1989 son diplôme de doctorat en médecine de l’Université Laval. Elle a par la suite terminé sa formation en médecine interne en 1993, puis en cardiologie adulte en 1994. Mme Arsenault a effectué une formation complémentaire en échographie cardiaque clinique à Paris en 1995 ainsi qu’en recherche à l’Université Tufts de Boston de 1995 à 1997. 

Au moment de sa nomination à titre de doyenne, elle occupe le poste de cardiologue à l’Institut universitaire de cardiologie et pneumologie de Québec (IUCPQ) et à l’Hôpital régional de Portneuf ainsi que de médecin clinicienne enseignante titulaire au Département de médecine de la Faculté de médecine de l’Université Laval. De 2018 à 2024, elle a occupé la fonction de vice-doyenne aux études médicales postdoctorales de notre Faculté. Mme Arsenault a notamment assumé la direction du Département de médecine de la Faculté de juillet 2017 à juin 2018. 

Active en enseignement et impliquée en recherche depuis le début de sa carrière, elle a été soutenue par le Fonds de recherche du Québec — Société et culture (FRQ-S) de 2000 à 2009. Soulignons ses engagements en enseignement dans le domaine de la cardiologie auprès des externes, des résidentes et des résidents ainsi qu’auprès de la communauté étudiante des sciences infirmières et des sciences biomédicales. Entre autres implications, elle a notamment eu le mandat d’implanter l’enseignement par compétences dans les programmes de résidence de l’Université Laval.

Vision et orientations

Marie Arsenault propose une vision où la bienveillance est au cœur des orientations de la Faculté de médecine et où l’on prend soin de soi, des autres pour mieux prendre soin de la société et de notre planète. 

La future doyenne souhaite que cette vision éclaire et guide les décisions et engagements à venir afin de relever les nombreux défis qui attendent la Faculté.

Lire le plan d’action
Accéder à la page d’information sur la course au décanat 

Communication du doyen de la Faculté de médecine, Julien Poitras

Chères collègues, chers collègues,
Après huit années à la barre de notre Faculté de médecine, le moment est venu pour moi de passer le flambeau. J’ai accueilli avec une immense joie l’annonce de la rectrice désignant Marie Arsenault comme nouvelle doyenne de notre Faculté à compter du 1er juillet. Vraiment, bravo à Marie qui sera la première femme à occuper ce poste dans notre histoire !

Je suis intimement convaincu que, sous sa gouverne éclairée, notre Faculté poursuivra son essor, son développement et qu’elle saura relever avec brio les défis qui se présenteront.

Je tiens également à remercier et féliciter chaleureusement les deux autres candidats à cette démarche, soit Mathieu Leboeuf et Bruno Piedboeuf, pour leur engagement et les visions inspirantes qu’ils ont également partagées dans le cadre de cette campagne.

D’ici la passation officielle le 30 juin 2025, l’équipe actuelle demeurera pleinement opérationnelle, et je me réjouis déjà de collaborer étroitement avec madame Arsenault pour orchestrer une transition fluide et harmonieuse. Nous vous communiquerons dans les semaines à venir les ajustements prévus. Cette démarche se fera en toute transparence, et je vous invite à approcher vos gestionnaires, directrices et directeurs pour toute question relative à cette transition.

Bien que nous aurons d’autres occasions d’échanger à ce sujet, permettez-moi de vous exprimer ma profonde gratitude pour votre engagement indéfectible, votre professionnalisme exemplaire et votre précieuse collaboration au fil de ces années.

C’est grâce à chacune et chacun d’entre vous que cette aventure s’est révélée aussi stimulante qu’enrichissante.

Julien Poitras
Doyen

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news-4625 Mon, 05 May 2025 15:21:40 -0400 Une nouvelle Chaire de leadership en enseignement en soutien aux vétéranes et vétérans vivant avec la douleur chronique /nouvelles/detail-dune-nouvelle/une-nouvelle-chaire-de-leadership-en-enseignement-en-soutien-aux-veteranes-et-veterans-vivant-avec-la-douleur-chronique C'est une première canadienne pour l’Université Laval et la Faculté de médecine. L’Université Laval, avec l’appui du Centre d’excellence sur la douleur chronique pour les vétérans canadiens (CESLDC), crée la Chaire de leadership en enseignement en sensibilisation, autogestion et soutien (SENSAS) du bien-être pour les vétérans et leurs familles.

Titulaire de cette Chaire de leadership en enseignement (SENSAS) et professeure adjointe au Département d'anesthésiologie et de soins intensifs, Pascale Marier-Deschênes souligne que « la douleur chronique touche 41 % des vétéranes et des vétérans, ce qui dépasse largement le taux de 20 % estimé chez la communauté civile canadienne. Pourtant, les ressources spécifiques sont rares au Québec, et peu d’étudiantes, d’étudiants et de personnes professionnelles de la santé sont sensibilisés à la culture militaire. »

L'un des objectifs de cette chaire de leadership en enseignement est de cocréer un programme bilingue en ligne d’autogestion de la douleur chronique avec des personnes vétéranes partenaires. Ce programme pourra être utilisé seul ou en complément aux interventions du personnel de la santé.  

Sensibiliser la communauté étudiante ainsi que le corps professoral et enseignant à la réalité des vétéranes et des vétérans vivant avec la douleur chronique et à celle de leur famille est aussi au programme.

« Nous comptons créer des modules interactifs de formation portant entre autres sur la culture militaire, la transition entre les forces armées et la vie civile, l’intervention auprès de la population vétérane et le soutien à l’autogestion. Ces modules seront ensuite adaptés pour favoriser le développement professionnel continu chez les personnes professionnelles déjà en pratique », témoigne la titulaire de la Chaire.

La rectrice de l’Université Laval, Sophie D’Amours, souligne aussi l’engagement social de la Chaire.

« Les travaux de l’équipe de Pascale Marier-Deschênes me rendent particulièrement fière du fait que le soutien aux vétéranes et vétérans et à leurs proches rejoint la valeur fondamentale du bien-être des personnes portée par notre institution. L’approche partenariale et innovante proposée s’inscrit dans la volonté des membres de notre communauté de faire une différence au quotidien dans la vie des gens et d’agir ensemble pour avoir plus d’impact dans la société. »

La création, incluant le recrutement de la professeure Pascale Marier-Deschênes, et la programmation de cette Chaire sont rendues possibles, notamment, grâce au soutien de 500 000 $ sur 5 ans du Centre d’excellence sur la douleur chronique pour les vétérans canadiens (CESLDC), par l’intermédiaire du Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale (Cirris).

« Cette collaboration du CESLDC est précieuse. Félicitations pour ce maillage avec notre communauté de recherche et d’enseignement ! Il est impératif de former des personnes professionnelles et les milieux cliniques qui accueillent les personnes vétéranes, en plus d’offrir des ressources d’autogestion et de soutien accessibles et adaptées en dehors du contexte clinique. La formation et la recherche dans ce domaine et l’embauche de la professeure Marier-Deschênes, que permet la création de cette Chaire, s’inscrivent dans le caractère innovant de la Faculté de médecine et dans notre volonté d’être responsables socialement envers les populations que nous servons », conclut notre doyen Julien Poitras.

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news-4624 Mon, 05 May 2025 10:02:02 -0400 Philippe Morneau-Cartier et Marie-Frédérique Poulin nommés athlètes de l'année au Gala Rouge et Or /nouvelles/detail-dune-nouvelle/philippe-morneau-cartier-et-marie-frederique-poulin-nommes-athletes-de-lannee-au-gala-rouge-et-or Le coureur de cross-country et la sprinteuse se sont distingués grâce à leur saison exceptionnelle au sein du programme Rouge et Or Le coureur Philippe Morneau-Cartier et la sprinteuse Marie-Frédérique Poulin ont été nommés athlètes de l’année le jeudi 1er mai, lors du Gala Rouge et Or présenté par la Banque Scotia.

Déjà sacré étudiant-athlète de l’année en sport individuel, Philippe Morneau-Cartier a aussi mis la main sur le titre convoité d’étudiant-athlète de l’année toutes disciplines confondues. Le spécialiste de cross-country a survolé le circuit universitaire, remportant toutes les épreuves auxquelles il a participé, incluant les championnats RSEQ et U SPORTS, où il a été couronné champion national. Étudiant à la maîtrise en biologie cellulaire et moléculaire, il a également été nommé athlète par excellence de la saison au Québec et à l’échelle canadienne.

Chez les femmes, Marie-Frédérique Poulin, étudiante à la maîtrise en santé publique, a elle aussi connu une saison exceptionnelle sur la piste. Étudiante-athlète de l’année en sport individuel, elle a complété son doublé en recevant le prix ultime de la soirée. Membre de la première équipe d’étoiles du RSEQ, elle a remporté trois médailles d’or au Championnat provincial. Elle a poursuivi sur sa lancée aux nationaux, décrochant le bronze au 600 m et au relais 4×200 m. Plus tôt dans la saison, elle avait également fracassé le record d’équipe au 300 m.

Découvrez les autres lauréats et lauréates

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news-4626 Mon, 05 May 2025 08:57:00 -0400 Un pas de plus vers la production de sang sur mesure /nouvelles/detail-dune-nouvelle/un-pas-de-plus-vers-la-production-de-sang-sur-mesure Grâce à l'outil d'édition génomique CRISPR-Cas, une équipe de recherche démontre qu'il est possible d'éliminer certains antigènes de la surface des globules rouges Une étude publiée dans la revue Human Molecular Genetics par une équipe de recherche de l’Université Laval et de Héma-Québec suggère qu’il serait possible de produire in vitro des globules rouges compatibles avec tous les groupes sanguins désirés. Cette preuve de concept laisse entrevoir la possibilité de produire du sang « sur mesure » qui pourrait être transfusé à des personnes ayant des groupes sanguins rares ou à des personnes qui doivent fréquemment recevoir des transfusions sanguines, une situation qui les place à risque de réactions immunitaires.

« La compatibilité du sang dépend de molécules antigéniques qui se trouvent à la surface des globules rouges. On connaît bien le système d’antigènes A, B et O ainsi que celui du facteur Rhésus (Rh), d’où sont dérivés les 8 grands groupes sanguins, mais il existe au moins 45 autres systèmes d’antigènes. Il est donc difficile de trouver des donneurs dont le sang est parfaitement compatible avec celui de patients qui ont un groupe sanguin rare ou qui ont des besoins particuliers en raison d’une condition de santé », souligne le responsable de l’étude, Yannick Doyon, professeur à la Faculté de médecine de l’Université Laval et chercheur au Centre de recherche du CHU de Québec — Université Laval.

L’équipe de recherche s’est donc tournée vers le système d’édition génomique CRISPR-Cas pour déterminer s’il était possible d’inactiver les gènes codant pour certains antigènes de la surface des globules rouges. « Pour étudier la question, il a fallu travailler avec les cellules précurseures des globules rouges provenant de la moelle osseuse parce qu’une fois différenciés, ces globules sont dépourvus de noyau et ils ne contiennent plus d’ADN », précise le professeur Doyon.

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news-4619 Fri, 02 May 2025 08:38:28 -0400 Retour en présentiel des mini-entrevues multiples /nouvelles/detail-dune-nouvelle/retour-en-presentiel-des-mini-entrevues-multiples Près de 800 candidates et candidats ont pris part au processus de sélection pour être admis au doctorat de premier cycle en médecine. Les 26 et 27 avril derniers, les mini-entrevues multiples (MEM) ont fait leur grand retour en présentiel au pavillon Ferdinand-Vandry, durant un événement géré conjointement avec l’Université de Montréal. 

Ce mode d’évaluation vise à évaluer les qualités et aptitudes jugées essentielles à la réussite du programme de médecine et à l’exercice de la médecine. Parmi celles-ci figurent la motivation, l’empathie, la conscience sociale, l’authenticité, l’ouverture d’esprit, le leadership, le jugement, l’adaptabilité ainsi que les capacités sociales et relationnelles favorisant le travail d’équipe, la saine communication et l’autocritique.

Pour l’admission 2025, le circuit comptait 10 parcours, chacun formé de 10 stations d’évaluation. En tout, ce sont donc plus de 100 stations qui ont été mises en place, mobilisant 110 évaluatrices et évaluateurs, 36 actrices et acteurs, 25 surveillantes et surveillants et plus d’une centaine de bénévoles. Soulignons également l’apport précieux de nombreux membres du personnel de la Faculté ayant contribué au succès de l’événement. 

Bravo aux candidates et candidats pour leur performance !

Nous tenons aussi à remercier les équipes de Pédagogia et du vice-décanat aux études médicales doctorales pour l’organisation et la coordination exemplaires de cet événement d’envergure.

Merci aussi aux membres de la Direction des services à la communauté facultaire pour leur précieux soutien durant l’événement.

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news-4617 Thu, 01 May 2025 10:13:26 -0400 Détecter la maladie de Parkinson grâce à un simple examen de la rétine /nouvelles/detail-dune-nouvelle/detecter-la-maladie-de-parkinson-grace-a-un-simple-examen-de-la-retine Serait-il possible de diagnostiquer la maladie de Parkinson à l’aide d’un simple examen de la rétine? Une étude menée par une équipe de la Faculté de médecine de l’Université Laval suggère que cette piste devrait être sérieusement envisagée. Serait-il possible de diagnostiquer la maladie de Parkinson à l’aide d’un simple examen de la rétine ? Une étude publiée dans l’édition du mois de mai de la revue Neurobiology of Disease par une équipe de l’Université Laval suggère que cette piste devrait être sérieusement envisagée. En effet, la rétine des personnes atteintes de parkinson répondrait différemment de celle des personnes bien portantes à des stimuli lumineux, révèlent les travaux de ce groupe de recherche.

De nos jours encore, le Parkinson est diagnostiqué au moment où une personne consulte un médecin en raison de problèmes moteurs comme des tremblements.

« La maladie est alors installée depuis plusieurs années et les neurones du cerveau impliqués dans la maladie sont déjà engagés dans un processus irréversible de dégénérescence. C’est la raison pour laquelle il est important de trouver des biomarqueurs pour détecter le Parkinson à un stade précoce de la maladie », explique le responsable de l’étude, Martin Lévesque, professeur à la Faculté de médecine de l’Université Laval et chercheur au Centre de recherche CERVO.

La rétine est une extension directe du système nerveux central et, conséquemment, elle offre une façon non invasive d’explorer le cerveau, poursuit le chercheur.

« Une réponse inhabituelle de la rétine à des stimuli lumineux pourrait être indicative d’une pathologie qui touche le cerveau », avance-t-il.

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news-4616 Wed, 30 Apr 2025 10:17:28 -0400 À la mémoire de Jacques Brunet /nouvelles/detail-dune-nouvelle/a-la-memoire-de-jacques-brunet Jacques Brunet 1928-2025 La Direction de la Faculté tenait à rendre hommage à Jacques Brunet, un homme dont le parcours aura marqué l’histoire de notre Faculté et du Centre hospitalier de l’Université Laval (CHUL). À l’occasion de son décès, nous offrons nos plus sincères condoléances aux membres de sa famille, ses collègues et amis.

Né à Québec en 1928, Jacques Brunet est décédé à Montréal, le 13 février 2025 à l’âge de 97 ans. Professeur émérite du département de médecine de la Faculté de médecine de l’Université Laval depuis 1998 et diplômé en médecine en 1952 de notre Université, il a été un acteur important dans la restructuration et le développement des programmes de formation en médecine et dans l’organisation du réseau hospitalo-universitaire de la Faculté. Son influence a été déterminante dans l’organisation de la recherche médicale autant dans notre réseau qu’au Québec.

M. Brunet fait partie des principaux comités d’orientation de l’Université et de la Faculté de médecine dans les années 1960 et est nommé professeur titulaire en 1967, avant de venir le premier directeur du département de médecine du CHUL en 1968. Nommé sous-ministre aux Affaires sociales du Québec en 1970, il garde ce poste jusqu’en 1973, année où il obtient la direction des services professionnels au CHUL et devient directeur de cet établissement en 1981, poste qu’il occupera jusqu’à sa retraite en 1992. En 1988, Opération Enfant Soleil est officiellement incorporé à titre d’OBNL. Jacques Brunet agit alors comme premier président du conseil d’administration. Rappelons que le premier Téléthon est organisé en juin 1988 par la Fondation du CHUL et que l’objectif est d’amasser des fonds pour doter le CHUL d’une urgence pédiatrique. Pendant toute cette période, M. Brunet accepte aussi des tâches d’enseignement en médecine sociale et préventive dans le cadre des programmes de maîtrise et de résidence en santé communautaire. 
En 2010, un laboratoire du Centre Apprentiss est nommé au nom de Jacques Brunet, désigné héros de la santé par l’Université Laval. 

Consulter l’avis de décès

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news-4610 Wed, 30 Apr 2025 09:18:00 -0400 Un 5e prix Keith pour notre Faculté ! /nouvelles/detail-dune-nouvelle/luniversite-laval-forme-le-plus-grand-nombre-de-medecins-de-famille-au-canada-pratiquant-toujours-en-region-dix-ans-apres-leur-diplomation L’Université Laval forme le plus grand nombre de médecins de famille au Canada pratiquant toujours en région dix ans après leur diplomation. La Faculté de médecine de l’Université Laval a remporté le prix Keith de la Société de médecine rurale du Canada. Cette distinction est remise chaque année à la faculté de médecine canadienne qui a formé le plus grand nombre de médecins de famille pratiquant toujours en région dix ans après leur diplomation.

Rappelons que la Faculté a aussi remporté ce prix en 2004, 2015, 2019 et 2020.

« Ce résultat a été possible grâce à la grande mobilisation de nos partenaires en enseignement présents dans notre grand territoire de l’Est-du-Québec, en plus du Centre hospitalier De Lanaudière. Chacune et chacun méritent une part de ce prix ! Les CISSS qui reçoivent nos étudiants et étudiantes permettent de mettre en pratique la formation théorique reçue. Les professionnelles et professionnels à l’œuvre dans ces établissements contribuent, par la transmission de leurs compétences et leur passion pour leur région à favoriser un engouement envers la pratique en dehors des grands centres. Ces médecins et autres professionnels et professionnelles, de même que nos partenaires, ont permis à la Faculté de se démarquer et de recevoir pour une cinquième fois cette prestigieuse distinction », déclare le doyen de la Faculté, Julien Poitras.

La Faculté poursuit ses efforts pour favoriser l’installation de médecin en région. D’ailleurs, un premier groupe d’étudiantes et d’étudiants termine cette année leur préexternat à Rimouski (17) et à Lévis (18), ce qui augure bien pour la poursuite de leur carrière en médecine. Une première pour l’Université Laval ! Cette réussite est le fruit de l’implantation en dehors des grands centres de deux pavillons d’enseignement de la médecine en 2022. Ce levier s’ajoute à l’offre d’externats longitudinaux intégrés sur l’ensemble du Réseau universitaire intégré de santé et de services sociaux de l’Université Laval (RUISSSUL), un engagement sanitaire et social de la Faculté envers toutes les régions du large territoire qu’elle sert. 

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news-4612 Tue, 29 Apr 2025 16:13:43 -0400 La Semaine de la santé mentale à l’Université Laval : pour mieux se ressourcer /nouvelles/detail-dune-nouvelle/la-semaine-de-la-sante-mentale-a-luniversite-laval-pour-mieux-se-ressourcer Du 5 au 9 mai, les membres du personnel sont invités à participer à des activités axées sur la santé mentale Pour la première Semaine de la santé mentale à l’Université Laval, placée sous le thème « Se ressourcer », la Direction santé et mieux-être au travail du Vice-rectorat aux ressources humaines et aux finances propose au personnel diverses activités axées sur la santé mentale. En voici un bref aperçu.

Atelier sur le mieux-être

Le conférencier Martin Pelletier animera un atelier qui, à l’aide d’exercices concrets, donnera des outils pour mieux gérer son temps et son stress afin de vivre une vie qui correspond davantage à ses souhaits.

S’inscrire

Conférence « La science du bonheur »

Au cours de sa conférence, la professeure à l’École de psychologie Isabelle Denis amènera à se questionner sur le bonheur. Qu’est-ce, au juste, que le bonheur ? Est-il inné ou acquis ? Qu’est-ce qui rend heureux et comment l’être davantage ? Cette rencontre apportera des réponses à ces questions fondamentales.

S’inscrire

À ne pas manquer également, l’atelier de création de mandalas géants, la marche active ULaval ainsi que le passage du chariot Se ressourcer.

Pour en savoir plus sur l’ensemble des activités, consulter la programmation détaillée.

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news-4613 Mon, 28 Apr 2025 16:19:00 -0400 Accidents de la route : des substances détectées chez plus de la moitié des automobilistes /nouvelles/detail-dune-nouvelle/etude-sur-les-accidentes-de-la-route-55-des-automobilistes-avaient-consomme-au-moins-une-substance-pouvant-affaiblir-les-facultes L'étude révèle également que 22% des quelque 8300 personnes transportées à l'urgence avaient au moins 2 substances dans leur sang Être impliqué dans un accident de la route après avoir consommé de l'alcool, des médicaments, du cannabis ou d'autres drogues récréatives est loin d'être une situation exceptionnelle au Canada. En effet, une étude pancanadienne, publiée dans Jama Network Open, révèle que des substances pouvant altérer les facultés ont été détectées chez plus de la moitié des automobilistes transportés à l'urgence à la suite d'une collision.

Une équipe de 22 scientifiques, dont Marcel Émond et Éric Mercier, professeurs à la Faculté de médecine de l'Université Laval et chercheurs au Centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval, arrive à cette conclusion après avoir analysé des échantillons sanguins prélevés chez 8328 personnes qui étaient au volant lors d'un accident de la route survenu entre janvier 2019 et juin 2023. Leurs blessures, dont la gravité allait de modérée à sévère, avaient nécessité un transport vers l'urgence des 15 centres hospitaliers participants répartis dans 8 provinces canadiennes.

Dans les 6 heures qui ont suivi l'accident, des prélèvements de sang à des fins cliniques avaient été faits chez ces personnes. Ce qui restait des échantillons sanguins après les tests a servi à des analyses visant à détecter la présence de substances pouvant affecter la conduite automobile.

Lire la nouvelle complète d’ULaval nouvelles

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news-4611 Mon, 28 Apr 2025 13:45:50 -0400 Le nouveau Département d’innovation en éducation médicale (DIEM) est né ! /nouvelles/detail-dune-nouvelle/le-nouveau-departement-dinnovation-en-education-medicale-diem-est-ne Le DIEM deviendra un pôle interdisciplinaire francophone d’excellence et d’innovation en pratiques didactiques des sciences de la santé Le Département d’innovation en éducation médicale (DIEM) a vu le jour officiellement le 1er avril dernier. Depuis, sous la direction par intérim de Nathalie Gingras, une équipe a été mise en place. Le DIEM dévoilera sous peu une vitrine Web sur le site facultaire.

Véritable porte d’entrée du Département, cette vitrine Web donnera un aperçu sur la contribution du département dans le domaine de l’enseignement supérieur et présentera comment la Faculté de médecine et l’Université Laval pourront être reconnues pour leur leadership en éducation médicale. La clef du succès sera la collaboration avec l’ensemble des départements de la Faculté et des partenaires externes.

« La création du Département d’innovation en éducation médicale est un grand pas pour notre Faculté et est le fruit d’une vision innovante. Sa mise en place permettra de créer un pôle interdisciplinaire francophone d’excellence et d’innovation en pratiques didactiques des sciences de la santé. Il favorisera l’amélioration de la formation dans les différentes professions de la santé dont en sexologie, en kinésiologie, en sciences de la réadaptation et en médecine, tout en soutenant le développement d’un système de santé apprenant et socialement responsable. », confirme le doyen de la Faculté de médecine, Julien Poitras. 

Bon succès et longue vie au Département d’innovation en éducation médicale !

Des questions ou envie de vous impliquer ? diem@fmed.ulaval.ca

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news-4608 Thu, 24 Apr 2025 11:47:59 -0400 Félicitations aux 20 finissantes en audiologie! /nouvelles/detail-dune-nouvelle/felicitations-aux-20-finissantes-en-audiologie Les étudiantes ont souligné la fin de leur parcours universitaire avant d’entreprendre leur stage final. L’ambiance était festive au Jardin des décanats le 10 avril dernier. En effet, les 20 finissantes en audiologie étaient rassemblées avec l’équipe enseignante du programme pour souligner la fin d’une étape importante de leur formation, soit la réussite de toutes les activités d’apprentissage préalables à leur stage final.

Crédit photo : Jérôme Bourgouin – Université Laval

Le directeur du programme, M. François Bergeron, a souligné fièrement leur parcours inspirant, leur persévérance inégalée et leur transition vers leurs rôles de professionnelles de la santé. Mme Véronique Flamand, directrice adjointe au développement et au rayonnement de l'École des sciences de la réadaptation, était également présente pour les féliciter et les encourager à poursuivre leur engagement social et communautaire. 

M. Julien Poitras, doyen de la Faculté de médecine, qui ne pouvait être présent, leur a adressé un message vidéo empreint de fierté. 

Crédit photo : Jérôme Bourgouin – Université Laval

Les finissantes sont fin prêtes à mettre en pratique tous les apprentissages réalisés au cours de leurs deux années de formation. 

Nous leur souhaitons bon succès durant leur stage et pour la suite de leur carrière professionnelle !

Consultez l’album photo

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news-4615 Wed, 23 Apr 2025 16:41:00 -0400 Marc Leopold Colonnier /nouvelles/detail-dune-nouvelle/marc-leopold-colonnier Professeur retraité de la Faculté de médecine depuis 1991 C'est avec regret que nous avons appris le décès de M. Marc Leopold Colonnier professeur retraité de la Faculté de médecine depuis 1991.

M. Colonnier est décédé le 31 janvier dernier à l'âge de 94 ans.

Pour plus d'informations

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news-4609 Wed, 23 Apr 2025 08:23:00 -0400 Trois questions sur la série Adolescence et le discours masculiniste /nouvelles/detail-dune-nouvelle/trois-questions-sur-la-serie-adolescence-et-le-discours-masculiniste La professeure Roxanne Guyon analyse la montée du discours misogyne dans les écoles du Québec et donne son avis sur l’usage de la série comme outil pédagogique Le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont annoncé vouloir se servir de la série britannique Adolescence pour sensibiliser les jeunes aux dérives masculinistes. Immense succès sur Netflix, cette série met en scène un meurtre qui s’inscrit dans un continuum de violences sexistes et met notamment en lumière la montée des discours misogynes dans les écoles du Royaume-Uni. Comme l’explique Roxanne Guyon, professeure en sexologie à la Faculté de médecine, le Québec n’est pas épargné par la montée de ces discours.

Qu’est-ce qui peut expliquer cette montée des discours misogynes dans les écoles du Québec ?

Certains « influenceurs » masculinistes qui promeuvent des discours misogynes sur les plateformes numériques, tels qu’Andrew Tate, ont connu une impressionnante notoriété auprès des jeunes garçons durant la pandémie, où l’on a constaté une consommation importante de ce type de contenu. Cette montée des discours misogynes peut s’expliquer, entre autres, par une réaction défensive face au mouvement #metoo et à la promotion de l’égalité de genre : certains garçons perçoivent les progrès en matière de droits des femmes comme une perte de pouvoir, de privilège ou de repères. Reflétant les contrecoups des dénonciations ayant eu lieu dans le cadre du mouvement #metoo, plusieurs évoquent l’impression de devoir se censurer ou se surveiller de façon excessive, alimentant un sentiment de perte de liberté ou d’inversion des rapports de pouvoir.

Or, l’école est un espace de socialisation où l’identité se développe, se négocie, et où les normes de genre sont visibles. Les jeunes y passent de longues heures entourés de leurs pairs, dans un contexte de validation sociale constante. Ainsi, les discours de domination peuvent trouver écho auprès des garçons, où les blagues sexistes et les discours misogynes peuvent servir à acquérir un certain statut social ou à renforcer les liens avec leur groupe de pairs. Par ailleurs, bien que plusieurs membres du personnel soient sensibles à ces enjeux, les écoles manquent souvent de ressources, de formation ou de soutien pour intervenir face à des discours misogynes et à des comportements sexistes. Ainsi, la misogynie se propage dans les écoles parce qu’elle est banalisée, valorisée, peu remise en question et alimentée par des discours masculinistes et antiféministes auxquels les jeunes sont exposés en ligne et auxquels ils s’identifient.

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news-4606 Tue, 22 Apr 2025 09:36:13 -0400 Une cohorte record en médecine de famille /nouvelles/detail-dune-nouvelle/une-cohorte-record-en-medecine-de-famille Les facultés de médecine saluent les résultats du jumelage 2025 Les quatre facultés de médecine du Québec (Université Laval, Université McGill, Université de Montréal et Université de Sherbrooke) accueillent avec enthousiasme les résultats du processus d’admission en résidence, à la suite du deuxième tour du jumelage coordonné par le Service canadien de jumelage des résidents (CaRMS). Au total, 923 futurs résidentes et résidents ont été jumelés dans le contingent régulier — les candidates et les candidates ayant fait leur programme de formation en médecine au Canada ainsi que les personnes diplômées hors Canada et États-Unis admissibles ayant leur citoyenneté ou la résidence permanente canadienne — à des programmes de formation à travers la province, dont 480 en médecine de famille.

Il s’agit de la plus importante cohorte de futures et futurs médecins de famille jamais formée au Québec, un jalon significatif pour répondre aux besoins croissants en soins de première ligne, notamment dans les régions en pénurie de services. Cette croissance permet d’accentuer encore davantage notre présence dans tous les milieux régionaux et de renforcer le rôle essentiel de la médecine de famille dans le réseau de la santé. 

En outre, pour la première fois, les facultés offraient par l’entremise de CaRMS des places dans le contingent particulier, entre autres pour des candidates et des candidats ayant fait leur programme de formation en médecine à l’extérieur du Canada ou ayant d’autres particularités professionnelles. Vingt autres futures personnes résidentes seront ainsi admises dans ce contingent, dont quatre en médecine de famille. Elles viendront eux aussi contribuer aux soins à la population du Québec au cours de leur formation, et pourront possiblement opter pour la pratique médicale au Québec à l’issue de leur formation.

Une présence accrue en région

Parmi les 484 futures personnes résidentes en médecine de famille, 154 ont choisi de faire leur résidence à l’extérieur des grands centres urbains, un résultat qui témoigne de l’intérêt croissant des étudiantes et étudiants pour la pratique en région. Ces médecins en formation joueront un rôle crucial dans l’amélioration de l’accès aux soins pour la population québécoise, en particulier dans les régions qui en ont le plus besoin.

Une mobilisation collective qui porte fruit

Les doyens et doyenne des quatre facultés de médecine soulignent que ce succès est le fruit d’efforts soutenus et concertés pour valoriser la médecine de famille et promouvoir ses multiples facettes auprès des étudiantes et étudiants en médecine. Le groupe souligne toutefois que plusieurs défis demeurent pour assurer la pleine reconnaissance et l’attractivité durable de cette spécialité essentielle. Depuis plusieurs années, les facultés ont mis en place des mesures concrètes pour rehausser l’attractivité de la médecine de famille, en bonifiant l’exposition à cette spécialité durant le parcours universitaire, en multipliant les occasions de mentorat, et en collaborant étroitement avec les milieux cliniques pour offrir des environnements d’apprentissage stimulants, humains et bienveillants. Cette exposition régionale et la progression de l’intérêt étaient entre autres du nombre des objectifs de l’implantation de pavillons d’enseignement de la médecine à Gatineau, Lévis, Rimouski, Saguenay et à Trois-Rivières.

Une collaboration forte avec le gouvernement et les acteurs du milieu

Les quatre facultés de médecine du Québec travaillent en partenariat étroit avec le gouvernement du Québec ainsi que les actrices et acteurs du réseau de la santé pour former des cohortes de médecins compétentes, engagées et bien préparées à répondre aux réalités de la pratique. 

Les résultats du jumelage 2025 sont un signal positif pour le système de santé québécois. La médecine de famille est la porte d’entrée du réseau pour des milliers de patientes et patients. Former un plus grand nombre de médecins dans cette spécialité, et particulièrement en dehors des grands centres, contribue directement à améliorer la qualité, la continuité et la proximité des soins dans l’ensemble du Québec.

Une volonté d’aller encore plus loin

Les facultés de médecine réitèrent leur engagement à poursuivre les efforts pour répondre aux défis de recrutement et de formation en médecine de famille, et à innover dans les approches pédagogiques afin d’assurer que les futures et futurs médecins soient bien outillés pour relever les enjeux complexes de la santé publique, du vieillissement de la population et de l’organisation des soins. Elles auront besoin de l’appui du gouvernement et des acteurs du système de santé afin d’accueillir les cohortes record de personnes résidentes qui sont attendues à compter de 2028, en raison des fortes augmentations d’admissions au premier cycle auxquelles elles ont consenti à partir de la rentrée 2024.

« Ces résultats sont très encourageants. Ils témoignent non seulement de l’intérêt soutenu pour la médecine de famille, mais aussi du succès de nos actions concertées pour faire rayonner cette spécialité essentielle. Nous sommes particulièrement fiers de constater une forte présence en région, un objectif que nous poursuivons avec conviction. »
–  Dominique Dorion, doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke, et président de la Conférence des doyens des facultés de médecine des universités du Québec

Nombre de personnes résidentes en médecine de famille par région administrative*

Région administrative Nombre de personnes résidentes
Bas-Saint-Laurent 6
Saguenay–Lac-Saint-Jean 19
Capitale-Nationale 77
Mauricie 14
Estrie 26
Montréal 151
Outaouais 15
Abitibi-Témiscamingue 8
Côte-Nord 4
Nord-du-Québec 0
Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine 8
Chaudière-Appalaches 15
Laval 20
Lanaudière 20
Laurentides 20
Montérégie 61
Centre-du-Québec 7

* Trois personnes sont admises, mais l’attribution de leur GMF-U est à déterminer et 10 personnes sont admises à Moncton.

À propos de la Conférence des doyens des facultés de médecine des universités du Québec (CDFM)

Les quatre universités québécoises dotées d’une faculté de médecine se concertent et élaborent des positions et des projets communs. De concert avec les autres instances des affaires médicales du Bureau de coopération interuniversitaire, la CDFM joue un rôle important en matière de représentation auprès des autorités gouvernementales concernées par la formation médicale et la planification des effectifs médicaux, notamment le ministère de l’Enseignement supérieur (MES) et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). La CDFM réunit les doyennes et les doyens des quatre facultés, qui s’y concertent et y élaborent des positions et des projets d’intérêt commun. La présidence de la CDFM est assumée par l’un des décanats et change chaque année. 

www.bci-qc.ca/comites/affaires-medicales/

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news-4607 Tue, 22 Apr 2025 09:24:00 -0400 Les lauréates et lauréats du Gala de la vie étudiante 2025 /nouvelles/detail-dune-nouvelle/les-laureates-et-laureats-du-gala-de-la-vie-etudiante-2025 Célébration des initiatives parascolaires et hôte de la finale locale de Forces AVENIR, l’événement a réuni près de 300 membres de la communauté universitaire le 17 avril dernier Le Bureau de la vie étudiante de l’Université Laval honorait de nombreuses personnes à l’occasion du 35e Gala de la vie étudiante, qui se tenait au Théâtre de la Cité universitaire le jeudi 17 avril dernier.

Célébration des initiatives parascolaires et hôte de la finale locale de Forces AVENIR, l’événement a réuni près de 300 membres de la communauté universitaire. Depuis 35 ans, le Gala de la vie étudiante met en lumière une relève dynamique et passionnée, active dans divers domaines, œuvrant à un environnement où il fait bon vivre, ainsi qu’à une société saine et épanouie.

Élise Thiboutot, lauréate du prix Exclamation

Élise Thiboutot, étudiante en microbiologie-immunologie originaire de Lévis, a reçu le prix Exclamation remis à la candidature par excellence de la soirée. Elle a notamment coordonné, à titre de présidente, la 2e édition du RDV en Sciences, un rassemblement scientifique étudiant qu’elle a fondé à la fin de son baccalauréat en microbiologie.

Maintenant à la maîtrise en microbiologie-immunologie, Élise Thiboutot a occupé le poste de vice-présidence à la logistique de Kinovember, un projet unique qui mobilise la communauté étudiante et l’incite à bouger et à adopter de saines habitudes de vie. Ambassadrice pour l’événement Les filles et les sciences et pour Héma-Québec sur le campus, elle siège également à plusieurs comités liés à son programme et sa faculté. Dès sa première année de maîtrise, elle a rejoint le réseau d’aide en santé psychologique pour apporter son soutien aux personnes étudiantes en recherche de la Faculté de médecine.

Lire la nouvelle complète d’ULaval nouvelles

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news-4605 Thu, 17 Apr 2025 15:40:39 -0400 Les Mini-écoles des sciences de la santé en milieux autochtones poursuivent leur tournée /nouvelles/detail-dune-nouvelle/les-mini-ecoles-des-sciences-de-la-sante-en-milieux-autochtones-poursuivent-leur-tournee Une première édition hivernale riche en découvertes La tournée des Mini-écoles se poursuit ! À la fin du mois de mars, la communauté innue d’Ekuanitshit a accueilli la toute première édition hivernale des Mini-écoles des sciences de la santé de l’Université Laval. En mai, la tournée s’arrêtera à Pessamit et visera les mêmes objectifs.

Réalisée en collaboration avec l’Institut Tshakapesh, les équipes de la Faculté ainsi que des partenaires locaux, la tournée a réuni 20 membres de la communauté étudiante provenant de dix programmes en sciences de la santé. Deux participantes étaient issues de la communauté d’Ekuanitshit. Ce fut une immersion unique, empreinte de partage, de découvertes et de réflexions !

S’adapter aux imprévus pour faire rayonner la santé à l’école

En raison des conditions météorologiques, l’école de Teueikan a été fermée une partie de la journée dédiée à la Mini-école. Pour faire vivre l’expérience aux élèves, l’horaire a été revu et le salon des professions a été adapté. De plus, les kiosques sont restés accessibles à la communauté, offrant une occasion de dialogues intergénérationnels autour des carrières en santé. Malgré les imprévus, la journée a été un franc succès !

« Ce fut une expérience très émotive. Je crois aux impacts à long terme puisqu’il y a huit ans, je participais moi aussi à une Mini-école. Cela m’a permis de croire en mon rêve de devenir médecin ! Le décrochage scolaire est un fléau, surtout dans les communautés autochtones isolées comme la mienne. Le potentiel des jeunes autochtones est immense. Il faut faire en sorte qu’ils croient en eux et semer un rêve dans leur cœur. Je peux enfin dire que j’ai bouclé la boucle », témoigne Anaïs Malec, étudiante en médecine et Innue d’Ekuanitshit.

« À chaque fois, les Mini-écoles sont des expériences incroyables et inoubliables. Celle d’Ekuanitshit m’a particulièrement touchée puisqu’elle se déroulait dans ma communauté. Je crois profondément en l’impact et en l’importance du projet. Je suis tellement fière de pouvoir y contribuer ! », raconte Jade Malec, étudiante en sciences du langage et Innue d’Ekuanitshit.

Une visite du Centre de santé Mashtishanitshuap a permis de voir concrètement l’organisation des soins de santé et les défis vécus. Quant à la visite du Centre intégré de santé et de services sociaux de la Côte-Nord à Havre-Saint-Pierre, elle a été l’occasion de discuter des enjeux régionaux en santé et de participer à une présentation sur la sécurisation culturelle. Cet aspect est fondamental pour offrir aux communautés autochtones des soins adaptés et respectueux. 

Animée par Marie-Paule Malec et Guylaine Michel, et grâce à de nombreuses collaborations, la rencontre culturelle avec la communauté mettait en lumière la richesse des traditions innues. À l’horaire : observation du dépeçage d’un lièvre, participation à la confection de banniques, dégustation d’un repas traditionnel, participation à une prestation de danse traditionnelle Makusham et de robes à franges. 

Cette journée a profondément marqué le groupe, tant par l’accueil chaleureux que par la profondeur des savoirs partagés.

Écouter l’entrevue réalisée par les deux responsables de l’activité

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news-4604 Thu, 17 Apr 2025 15:24:59 -0400 Des résultats tangibles pour la 2e mission en 2025 à Madagascar ! /nouvelles/detail-dune-nouvelle/des-resultats-tangibles-pour-la-2e-mission-en-2025-a-madagascar Visites de sites de soins de santé, travaux sur la pédagogie et la réforme de la formation initiale en médecine étaient au cœur des activités. D’une durée de 12 jours, la deuxième mission 2025 à Madagascar s’est terminée le 11 avril dernier. Elle s’inscrit dans le cadre de l’entente entre la Faculté de médecine de l’Université Laval (FMED ULaval), celle de l’Université d’Antananarivo à Madagascar et le ministère de la Santé publique de Madagascar. Cette mission visait l’amélioration des soins de premières lignes à Madagascar et ce, à travers un appui à la réforme de la formation médicale des six facultés de médecine malgaches.

Un appui à nos partenaires malgaches

« Initiés il y a plus d’un an, les travaux portant sur la réforme de la formation initiale en médecine et sur la formation en pédagogie médicale étaient à nouveau au cœur de la mission. Pour une première fois et dans le cadre du premier séminaire pédagogique, la délégation participait aux réflexions sur la réforme de la formation des paramédicaux. Cela a permis d’ouvrir la porte à de nouvelles perspectives de collaboration. Cette mission a été l’occasion de réitérer l’appui de la FMED ULaval aux grands chantiers visant l’amélioration de la santé de la population locale et de renforcer les liens entre nos institutions », témoigne la professeure médecin titulaire au Département de médecine de famille et de médecine d’urgence (DMFMU) et coordonnatrice de la mission, Janie Giard. 

Les visites de sites de soins de santé ont favorisé l’identification de milieux de stage et de ceux qui sont potentiels à le devenir pour des résidentes et les résidents de la FMED ULaval. Ces milieux permettraient à la fois un enrichissement de leur formation ainsi qu’une contribution au renforcement de la capacité locale.

La délégation a également joué un rôle actif dans la réflexion entourant la mise en place des conditions gagnantes de la réforme de la formation médicale et de l’amélioration des soins de santé. Ceci inclut la création de Centres de santé de Base  – Universitaire. Ils seront les piliers de la formation des médecins généralistes à Madagascar.

Nouveauté 2025

Pour une première fois, la délégation était accompagnée de François Gélineau, vice-recteur aux affaires internationales et au développement durable à l’Université Laval et de Richard Debigaré, vice-doyen aux études en réadaptation et directeur de l’École des sciences de la réadaptation à la FMED ULaval. L’apport de l’École permet d’envisager ce partenariat sous un nouvel angle. 

Outre messieurs Gélineau et Debigaré et madame Giard, Claude Labrie, vice-doyen aux études médicales doctorales, Christian Rheault, adjoint du vice-doyen aux études médicales postdoctorales, Marc Bouchard, directeur du programme de doctorat en médecine, Samuel Boudreault, directeur du programme de médecine de famille et Patrick Daigneault, directeur du département de pédiatrie. Martine Côté, représentante de l’organisme Santé Monde, s’est jointe au groupe.

Principales réalisations

Partager l’expérience et l’expertise de la FMED ULaval et appuyer les collègues malgaches dans leur démarche en vue de contribuer à : 

  • développer d’un référentiel des compétences métier du médecin généraliste, les MADAMEDS, un socle sur lequel s’appuie le design du nouveau programme de formation;
  • réviser la cartographie de la formation médicale initiale basée sur l’approche par compétence et le passage à une pédagogie 2.0;
  • faire un état des lieux et réflexions sur les prochaines étapes visant à mieux préparer les paramédicaux; 
  • établir un échéancier permettant au premier groupe d’étudiantes et d’étudiants d’expérimenter le nouveau programme dès 2026;
  • une meilleure appropriation de la réforme par les partenaires. 

La délégation a profité de sa présence en sol malgache pour rencontrer le ministre de la Santé publique et celui de l’Enseignement supérieur ainsi que la présidente de l’Agence universitaire de la Francophonie – bureau Océan Indien.

Encore cette année, les liens d’amitié et de collaboration qui unissent les partenaires depuis 14 ans ont été solidifiés, tout en menant à des réalisations concrètes qui améliorent la santé de la population, et ce, dans un esprit de responsabilité sociale.

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news-4603 Wed, 16 Apr 2025 09:40:34 -0400 Célébration de fin de parcours pour les étudiantes et étudiants en orthophonie /nouvelles/detail-dune-nouvelle/celebration-de-fin-de-parcours-pour-les-etudiantes-et-etudiants-en-orthophonie Ensemble, elles ont franchi une étape cruciale de leur formation universitaire. Le 3 avril dernier, le Jardin des décanats a été le théâtre d’une ambiance festive ! Les 47 finissantes et finissants en orthophonie se sont réunis avec l’équipe enseignante du programme pour célébrer la réussite de toutes les activités d’apprentissage nécessaires avant leur stage final.

M. Vincent Martel-Sauvageau, directeur de programme, a salué leur parcours remarquable, la qualité de leur travail et leur transition vers leur rôle de professionnels de la santé. Mme Véronique Flamand, directrice adjointe au développement et au rayonnement de l’École des sciences de la réadaptation, et M. Maximiliano A. Wilson, directeur adjoint aux études de l’École, étaient également présents pour les féliciter et les encourager à poursuivre leur engagement social et communautaire. 

M. Julien Poitras, doyen de la Faculté de médecine, ne pouvant être présent, leur a adressé un message vidéo empreint de fierté et de reconnaissance.

Cette cohorte est désormais prête à mettre en pratique tous les apprentissages acquis au cours de ces deux années de formation. Nous leur souhaitons beaucoup de succès dans leur stage et dans leur future carrière professionnelle !

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news-4602 Mon, 14 Apr 2025 10:10:00 -0400 Tendinite au tendon d'Achille: il ne faut pas négliger la composante psychologique /nouvelles/detail-dune-nouvelle/tendinite-au-tendon-dachille-il-ne-faut-pas-negliger-la-composante-psychologique La peur exagérée d'avoir mal et la propension à imaginer des issues négatives au problème sont associées à l'intensité de la douleur perçue De plus en plus d’études suggèrent que la réadaptation des personnes qui souffrent de blessures musculosquelettiques peut être entravée par la peur irrationnelle d’avoir mal en exécutant certains mouvements (kinésiophobie) et par la propension à imaginer des issues très négatives à leur problème. Une nouvelle preuve à cet effet vient d’être apportée par une équipe de l’Université Laval qui a publié, dans la revue Sports Health, une étude montrant que la douleur ressentie par les adeptes de la course à pied aux prises avec une tendinite au tendon d’Achille est associée à la kinésiophobie et à la propension au catastrophisme.

Environ 50 % des personnes qui font de la course à pied souffriront un jour d’une tendinite au tendon d’Achille, rappelle le responsable de l’étude, Jean-Sébastien Roy, professeur à l’École des sciences de la réadaptation et chercheur au Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale de l’Université Laval. « La course est une activité très exigeante pour ce tendon. En général, les charges qu’il doit supporter représentent environ 6 fois le poids du coureur à chaque foulée, mais elles peuvent atteindre jusqu’à 12 fois son poids en montée ou en descente », signale-t-il.

La tendinite au tendon d’Achille peut être tenace. Dans le tiers des cas, elle est toujours présente un an après l’apparition des symptômes. « Le problème peut même subsister pendant plusieurs années et les récidives sont fréquentes, ce qui affecte la qualité de vie des gens », souligne le chercheur.

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news-4596 Wed, 09 Apr 2025 15:58:41 -0400 Le doyen Julien Poitras dévoile une nouvelle bande dessinée à l’Espace muséal /nouvelles/detail-dune-nouvelle/le-doyen-julien-poitras-devoile-une-nouvelle-bande-dessinee-a-lespace-museal L’exposition JULIEN POITRAS Le poids de nos traces s’installe au pavillon Ferdinand-Vandry. Le 8 avril dernier avait une saveur particulière pour le doyen de la Faculté de médecine, Julien Poitras. Dans le cadre d’un lancement conjoint avec la Bibliothèque de l’Université Laval, qui inaugurait au même moment l’exposition HUGO PRATT — L’héritage, l’œuvre, la biographie, M. Poitras a annoncé la création d’un tout nouvel espace muséal trifacultaire. Cet espace est situé au Centre des ressources d’apprentissage (CRA) du pavillon Ferdinand-Vandry. Pour l’occasion, il a aussi dévoilé sa toute nouvelle exposition. 

Jusqu’au 29 mars 2026, l’exposition JULIEN POITRAS Le poids de nos traces sera à l’affiche ! Ce titre correspond à celui d’une bande dessinée du doyen de la Faculté de médecine. En son nom personnel, Julien Poitras propose un regard lucide et sans concession sur notre système de la maladie dit « de la santé ». L’exposition met en lumière la démarche de l’artiste et le processus de création d’une bande dessinée.

« Dans cet ouvrage, en grande partie autobiographique, je dresse un parallèle entre mon enfance et mon travail et rôle d’enseignant dans le monde de la santé. Je raconte à la première personne, avec des dessins réalistes, le milieu religieux dans lequel j’ai grandi, ma découverte de la bande dessinée, mon intérêt pour la science, mais aussi le contact très humain qui se noue avec les patientes et les patients qui s’enchaînent à l’urgence, et avec les médecins de la relève que je forme », indique M. Poitras en invitant la communauté universitaire et le grand public à visiter l’exposition. 

Une exposition satellite sera présentée dans les pavillons d’enseignement de la médecine de Lévis et de Rimouski.

Faire rayonner la communauté trifacultaire

« Nous voulons mettre en lumière le talent artistique au sein de nos trois facultés, signe de diversité, de l’importance de l’humain dans nos professions et de notre ouverture à la communauté. Au terme de l’exposition en cours, nous souhaitons présenter aux membres de nos facultés et au grand public d’autres talents présents dans notre communauté ainsi que des artéfacts issus de notre histoire », souligne d’une même voix la doyenne de la Faculté de pharmacie, Julie Méthot, le doyen de la Faculté de médecine, Julien Poitras et celui de la Faculté des sciences infirmières, Frédéric Douville.

Connaître les détails de l’exposition

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news-4595 Wed, 09 Apr 2025 09:11:38 -0400 Une 2e mission à Madagascar en douze mois en partenariat avec la Faculté de médecine d’Antananarivo /nouvelles/detail-dune-nouvelle/une-2e-mission-a-madagascar-en-douze-mois-en-partenariat-avec-la-faculte-de-medecine-dantananarivo La mission suscite l’intérêt de la journaliste et documentariste Karina Marceau. Du 24 mars au 6 avril dernier, deux membres du Département de chirurgie, Louis Lacombe et Geneviève Nadeau, ainsi que la gynécologue obstétricienne Caroline Rhéaume du Département d’obstétrique, de gynécologie et de reproduction ont réalisé une deuxième mission en douze mois à Madagascar. Cette mission se déroulait en collaboration avec nos partenaires de la Faculté de médecine d’Antananarivo. 

Accompagnée par la résidente en urologie, Daphnée Bédard-Tremblay, l’équipe a collaboré avec l’urologue et ancien ministre de la Santé malgache, Yoël Rantomalala. Également présente sur place, Karina Marceau, journaliste et documentariste, s’est intéressée aux impacts positifs des interventions et du partage d’expertise réalisés dans le cadre de la mission.

L’objectif de l’équipe de la Faculté de médecine de l’Université Laval ?

« Nous souhaitons poursuivre la mise sur pied d’un programme pérenne de prévention, d’éducation, de sensibilisation, de correction et de réinsertion sociale des victimes et survivantes des fistules obstétricales à Madagascar. L’intention est de minimiser le nombre de femmes qui en souffrent », mentionnent d’une même voix Caroline Rhéaume et Geneviève Nadeau. 

Les fistules obstétricales sont principalement causées par un travail obstétrical qui présente des complications prolongées, parfois jusqu’à cinq jours. Cette situation se produit lorsque les femmes n’ont pas accès à des soins obstétricaux d’urgence rapidement.

De Tana à Mahajanga, en passant par Tamanave

La mission a commencé le 24 mars dernier à l’Hôpital de Tana et s’est poursuivie du 25 au 31 mars au Centre de Fistules Freedom from Fistula à Tamanave. L’équipe y a effectué un partage d’expertise et de connaissances chirurgicales avec les équipes médicales locales. Des cours théoriques ont été dispensés aux étudiantes, aux étudiants et aux internes dans les facultés de médecine visitées. La mission s’est terminée du 30 mars au 4 avril à Mahajanga, pour une mission chirurgicale à la Faculté de médecine. 

Inscrites dans le cadre de la programmation de la Chaire de leadership en enseignant en santé des femmes, ces actions auront des retombées concrètes sur l’intégration sociale et la qualité de vie des femmes malgaches.


Dr Daphnée Bédard-Tremblay à la Faculté de Tamatave (Toamasina)

Mission multivolets

Du 30 mars au 12 avril, une délégation de la Faculté sera également à Madagascar pour une mission multivolets avec nos partenaires de la Faculté de médecine d’Antananarivo. Cette autre mission a pour but de soutenir nos partenaires malgaches dans leurs efforts afin de renforcer les soins communautaires et de proximité, ainsi que de poursuivre la mise en place d’une réforme de la formation en médecine générale. Surveillez nos actualités ! D’autres détails suivront.  

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news-4594 Tue, 01 Apr 2025 13:27:00 -0400 Sexualité des personnes âgées: beaucoup de barrières dans les centres d'hébergement /nouvelles/detail-dune-nouvelle/sexualite-des-personnes-agees-beaucoup-de-barrieres-dans-les-centres-dhebergement La qualité de vie sexuelle devrait être considérée parmi les besoins de base essentiels des personnes qui y résident Quelle serait votre réaction si vous appreniez que votre mère ou votre grand-mère, qui vit dans un centre d’hébergement, s’y est fait un ami avec qui elle a une forme d’intimité sexuelle ? Cette idée vous choque-t-elle ? Pensez-vous que les membres de votre famille devraient intervenir ? Croyez-vous que le personnel du centre a fait montre de négligence en permettant qu’une telle chose se produise ?

« La sexualité des personnes âgées est encore un sujet tabou auquel sont associés de nombreux stéréotypes, commente Dominique Giroux, professeure à l’École des sciences de la réadaptation de l’Université Laval. On croit, à tort, que les personnes âgées sont asexuées, qu’elles n’ont pas de désirs ou de besoins sexuels, et on considère négativement l’expression de leurs comportements sexuels. En centre d’hébergement, il n’est pas rare que l’on associe l’expression sexuelle à une forme de désinhibition ou à des problèmes comportementaux. »

La sexualité est une composante importante du bien-être tout au long de la vie, rappelle la professeure Giroux.

« On estime qu’une personne a une bonne qualité de vie sexuelle lorsqu’elle peut adopter des comportements qui lui permettent de répondre de façon satisfaisante à ses besoins physiques, psychologiques et sociaux. »

Les centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) et les maisons des aînés reconnaissent-ils les besoins sexuels des personnes âgées et que font-ils pour les accommoder ? C’est ce que la professeure Giroux et 7 autres chercheuses et chercheurs ont tenté de déterminer en passant en revue 11 études et 49 rapports, thèses et documents divers publiés sur le sujet au cours des 20 dernières années. Dans un deuxième temps, l’équipe a mené des consultations auprès de 26 personnes vivant ou travaillant dans des CHSLD au Québec.

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news-4592 Mon, 31 Mar 2025 16:27:33 -0400 Reconnaissance des partenaires cliniques de l’École des sciences de la réadaptation /nouvelles/detail-dune-nouvelle/reconnaissance-des-partenaires-cliniques-de-lecole-des-sciences-de-la-readaptation L’engagement et la contribution exceptionnels des milieux partenaires en enseignement ont été soulignés lors d’un événement célébratoire. Le jeudi 13 mars dernier, l’École des sciences de la réadaptation a organisé une soirée de reconnaissance au pavillon Ferdinand-Vandry afin de mettre en lumière l’engagement essentiel des professionnelles et professionnels des milieux partenaires dans l’enseignement clinique. La soirée, qui a réuni plus de 60 personnes, a été l’occasion de saluer la contribution remarquable de ces acteurs qui accueillent les stagiaires, contribuant ainsi de façon notable à la formation de la relève.

Des cliniques privées ont été particulièrement reconnues pour leur participation soutenue à l’offre de stages au cours des cinq dernières années. Ces établissements ont reçu des attestations en guise de reconnaissance de leur rôle clé dans la formation de la communauté étudiante et de la qualité des stages offerts.

Souligner l’excellence de notre corps professoral

La cérémonie s’est conclue par la remise des prix d’excellence de l’École des sciences de la réadaptation pour l’année 2024. 

Le prix d’excellence des professeurs a été décerné à Jean-Sébastien Roy, professeur titulaire du programme de physiothérapie. 

Le prix d’excellence des chargés d’enseignement en médecine et des responsables de formation pratique a été attribué à Annie Pomerleau (programme d’ergothérapie) et à Maude Bastien (programme de physiothérapie). 

Enfin, le prix de grande contribution à la réadaptation a été remis à Catherine Vallée, professeure titulaire du programme d’ergothérapie, comme marque de reconnaissance de ses contributions exceptionnelles et de son leadership au sein de la communauté de la réadaptation à l’Université Laval et au sein de la Faculté de médecine.

Crédit photo : Université Laval — Jérôme Bourgoin

Richard Debigaré, vice-doyen aux études en réadaptation et directeur de l’École
Jean-Sébastien Roy, professeur titulaire du programme de physiothérapie
Véronique Flamand, directrice adjointe au développement et au rayonnement de l’École

Crédit photo : Université Laval — Jérôme Bourgoin

Richard Debigaré, vice-doyen aux études en réadaptation et directeur de l’École
Annie Pomerleau, responsable de formation pratique et chargée d’enseignement en ergothérapie,Maude Bastien, responsable de formation pratique et chargée d’enseignement en physiothérapie
Véronique Flamand, directrice adjointe au développement et au rayonnement de l’École

Crédit photo : Université Laval — Jérôme Bourgoin

Richard Debigaré, vice-doyen aux études en réadaptation et directeur de l’École
Catherine Vallée, professeure titulaire du programme d’ergothérapie
Véronique Flamand, directrice adjointe au développement et au rayonnement de l’École

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