Détail de la nouvelle

Une nouvelle étude prometteuse pourrait mener à une réduction des symptômes de la sclérose latérale amyotrophique

Les personnes qui sont atteintes de la SLA perdent graduellement la capacité à effectuer des mouvements volontaires en raison d’une perte de communication entre le système nerveux et les muscles. - SHUTTERSTOCK

Cet article est tiré de The Conversation, un média en ligne d'information et d'analyse de l'actualité indépendant qui publie des articles grand public écrits par des scientifiques et des universitaires, dont l'Université Laval est partenaire.

Un texte signé par Mari Carmen Pelaez, étudiante au doctorat, Antoine Desmeules, étudiant à la maîtrise, et Chantelle F. Sephton, professeure à la Faculté de médecine.

Chaque année, environ 1 000 Canadiens reçoivent un diagnostic de sclérose latérale amyotrophique (SLA, aussi connue sous le nom de maladie de Lou Gehrig). Et 4 000 Canadiens vivent actuellement avec cette maladie.

Il existe peu de traitements efficaces pour ralentir sa progression. Malheureusement, la plupart des personnes qui en souffrent décèdent deux à cinq ans après leur diagnostic.

Chercheurs en neurosciences, nous consacrons nos travaux à tenter de trouver des manières de réduire les symptômes de la SLA. Dans cet article, nous discuterons des résultats prometteurs de l’une de nos récentes études.

Lire la nouvelle complète sur ULaval nouvelles