Nathalie Gingras, vice-doyenne mandatée au développement du Département des sciences de la santé apprenantes

418 656-2131, poste 404762
vice-doyenne.projet-dpss@fmed.ulaval.ca

Depuis l’automne 2000, Nathalie Gingras mène une carrière universitaire au Département de psychiatrie et de neurosciences à la Faculté de médecine de l’Université Laval et a obtenu le titre de professeure médecin titulaire en 2013. Elle a terminé ses études de médecine à l’Université Laval en 1990. Elle a par la suite réalisé une formation en médecine de famille avec une certification du Collège des médecins de famille du Canada en 1992. Elle a ensuite entamé sa formation en psychiatrie et reçu sa certification de spécialité en psychiatrie du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada en 1997. Sur le plan des formations complémentaires, elle a terminé une maîtrise en médecine expérimentale M. Sc. en 1998 et le microprogramme de pédagogie universitaire des sciences (PUSS) de la santé en 2015.

Madame Gingras a assumé la fonction de directrice du Département de psychiatrie et de neurosciences de 2007 à 2016. Elle a par la suite occupé la fonction de directrice des programmes PUSS de 2016 à 2018 puis directrice du Centre Pédagogia de 2018 à 2021 et vice-doyenne du VDPDPC de 2021à 2022. Elle est de nouveau directrice des programmes de pédagogie universitaire des sciences de la santé et ce depuis l’automne 2022. 

Parallèlement à ses fonctions à la Faculté de médecine, Madame Gingras poursuit sa pratique en tant que médecin clinicienne auprès des adolescents et adolescentes au Centre de pédopsychiatrie du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Capitale-Nationale (CIUSSS CN). Elle est responsable de la clinique des troubles alimentaires pour les moins de 18 ans du CIUSSS CN où elle a également assumé la fonction de chef de secteur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent pendant 15 ans.

Nathalie Gingras a reçu en 2011 le titre de membre fondateur du Collège royal pour la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent pour son implication dans la création de la surspécialité.