La recherche en asthme

Une ou un superviseur de recherche vous sera attitré en début de formation. Elle ou il sélectionnera avec vous un projet de recherche qui pourra être complété dans le cadre de votre formation complémentaire. Vous serez encouragé à soumettre vos résultats de recherche à des réunions locales de même qu’à des congrès nationaux ou internationaux. Il est également fortement encouragé de publier les travaux dans une revue révisée par les pairs.

Vous pourrez être aidé dans l’élaboration du protocole de recherche par un ou une de nos pneumologues possédant une maîtrise en épidémiologie clinique. Vous aurez également accès aux services du statisticien de notre centre de recherche à l’IUCPQ

Si vous le désirez, vous pourrez vous impliquer davantage dans les projets de recherche cliniques et fondamentaux effectués par nos équipes dont voici les activités.

• Recherche clinique

Plusieurs projets de recherche clinique originaux sont conduits au Centre de recherche clinique situé à proximité de la clinique d’asthme, notamment sur les problèmes respiratoires des athlètes de haut niveau, sur la dysfonction des cordes vocales, le phénotypage de l’asthme, sa physiopathologie et le transfert des connaissances. De nombreux essais cliniques sont également effectués et, si vous le désirez, vous pourrez y participer en prévoyant votre inclusion dans le personnel autorisé. 

La banque de tissus et le laboratoire d’analyse des expectorations induites sont localisés au 3e étage du Centre de recherche clinique. Selon votre intérêt, vous pourrez vous familiariser avec les techniques de mise en banque des prélèvements pulmonaires et l’analyse des expectorations.

• Recherche fondamentale 

Les chercheuses et chercheurs fondamentaux du Centre de recherche couvrent plusieurs domaines de recherche : le recrutement et l’activation des éosinophiles dans l’asthme (Nicolas Flamand), la génétique de l’asthme (Yohan Bossé), le rôle des cellules épithéliales bronchiques (Jamila Chakir), les cellules musculaires (Ynuk Bossé), des sphingolipides (David Marsolais), des macrophages alvéolaires (Élyse Bissonnette) dans l’asthme et un modèle murin d’asthme (Marie-Renée Blanchet).