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Accueil, intégration, développement des compétences et enseignement

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matinée aide

L’activité d’accueil pour les nouveaux enseignants-cliniciens et nouvelles enseignantes-cliniciennes a répondu à leurs attentes

L’activité d’accueil destinée aux nouveaux cliniciens-enseignants et cliniciennes-enseignantes s’est tenu le vendredi 10 septembre. Le groupe était composé d’une quarantaine de personnes issues de différentes professions et de quelques sites de formation de la Faculté de médecine. Le volet synchrone a été animé par l’équipe du secteur pédagogique de Pédagogia de 8 h à 11 h. En ce qui a trait au contenu du volet asynchrone, il est composé de six vidéos qui offrent des renseignements sur différents services destinés aux enseignants et enseignantes.

Le doyen a souhaité la bienvenue à ce groupe en rappelant l’importance qu’ils jouent en formation. Il a rappelé que l’ouverture et l’inclusion sont des clés gagnantes avec les étudiants et les étudiantes, car la façon d’agir du superviseur ou de la superviseure a un impact certain sur l’apprentissage et l’enthousiasme d’un groupe ou d’une équipe.

Dans ce nouveau rôle de superviseur et de superviseure, il a été question lors de la formation d’écoute, de patience, de prendre le temps d’expliquer, de poser des questions, de prendre le temps de créer la relation avec les étudiants et les étudiantes, de partager le plaisir, de demeurer ouvert et d’éviter les jugements.

« Il faut parfois être pragmatique dans notre travail, car il peut y avoir des urgences. Mais il est important de prévoir des moments pour les rétroactions. L’étudiant doit sentir qu’il est en interaction avec son superviseur, car cet appui est puissant. » a précisé Nathalie Gingras, vice-doyenne à la pédagogie et au développement professionnel continu.

Lors du retour sur la formation Suis-je réellement pédagogique? les échanges ont été riches, notamment sur la prise de conscience de ce qui est souhaité pour créer un lien avec les étudiants et les étudiantes et les comportements qui peuvent éteindre le dynamisme ou les idées porteuses. Comme le stress fait partie du travail en sciences de la santé, il est important d’être à l’écoute de soi et des autres. Le cynisme, notamment, peut s’avérer le signe qu’il est nécessaire de prendre une pause plus ou moins prolongée.