Aller au contenu principal

Détail de la nouvelle

À lire cet été : le nouveau roman lumineux d’Aida Baran

Une œuvre littéraire et philanthropique dont les profits seront versés dans un Fonds de bourses aux étudiants

Profitez de cette pause estivale pour découvrir Le testament de Tante Mimi, le tout dernier roman signé par Aida Baran, paru aux Éditions de l’Apothéose.

Dans ce récit empreint de sensibilité, l’autrice Aida Baram, professeure titulaire retraitée au Département de pédiatrie de notre Faculté, nous transporte à Montréal, là où se croisent les chemins de deux personnages venus de loin.

Originaire de Syrie, Aida Bairam a également contribué en tant que chercheuse au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec-Université Laval.

Une histoire d’amour qui célèbre la richesse des différences

Elle est Égyptienne. Il est Syrien. Le testament de Tante Mimi raconte l’histoire d’amour entre deux professeurs issus de cultures et de religions différentes qui se rencontrent à Montréal.

À travers cette relation, Aida Bairam dresse le portrait d’immigrants en quête d’ancrage dans une société nouvelle. Elle explore les enjeux de l’intégration, tout en célébrant la richesse de la diversité et la force des liens familiaux. Le récit est accompagné d’une foule d’informations sur la géographie, les arts et l’histoire du Proche-Orient.

Un roman engagé au profit de la relève étudiante

Le testament de Tante Mimi est son troisième ouvrage après Elle et Elles, où elle relate son histoire marquée par la guerre, et Carnet d’Aida, qui réunit de courtes histoires et des réflexions en prose.

Les bénéfices des ventes du roman sont versés au Fonds de bourses aux étudiants — Fonds Aida Bairam pour le développement universitaire. Ce fonds, géré par la Direction de la philanthropie et des relations avec les diplômées et diplômés, permet de soutenir des personnes étudiantes d’origine arabe, prioritairement syriennes.

« Ma Tante Mimi était mon refuge à la fois physique lorsqu’elle m’hébergeait, et émotionnel quand mon for intérieur débordait et que les issues étaient fermées. »
– Extrait