Détail de la nouvelle

Trois questions à Matthieu Guitton

Matthieu Guitton, professeur titulaire au Département d’ophtalmologie et d’oto-rhino-laryngologie — chirurgie cervico-faciale
Matthieu Guitton, professeur titulaire au Département d’ophtalmologie et d’oto-rhino-laryngologie — chirurgie cervico-faciale

De Québec à Bangkok, le professeur à la Faculté de médecine et membre de l’École supérieure d’études internationales travaille sur la manière dont les humains interagissent avec la technologie

En Thaïlande ces jours-ci, Matthieu Guitton fait rayonner son expertise : l’analyse des cybercomportements. Comment agissent les gens dans les espaces virtuels? Comment la technologie peut-elle favoriser l’accès aux soins de santé dans les camps de réfugiés? Comment les influenceurs locaux peuvent-ils mobiliser les communautés?

Voilà un aperçu des intérêts de recherche du professeur à la Faculté de médecine et membre associé à l’École supérieure d’études internationales (ESEI). En plus de ses activités à l’Université Laval, il vient de recevoir une chaire professorale à l’Université Thammasat, à Bangkok. Une présence en Asie du Sud-Est qui ouvre les portes de cette région du globe à la communauté étudiante.

Vous êtes professeur à la Faculté de médecine, au département d’ophtalmologie et d’oto-rhino-laryngologie — chirurgie cervico-faciale. Qu’est-ce qui vous a amené à intégrer l’ESEI?

Mes sujets de recherche ont beaucoup évolué au cours des 20 dernières années. D’abord intéressé par le système auditif et les organes des sens, je me suis très tôt passionné pour le potentiel de la technologie, en particulier des espaces de réalité virtuelle. De cette passion sont nées mes recherches sur les cybercomportements, que ce soit pour la télémédecine [la pratique de la médecine, à distance, au moyen d’outils informatiques et de télécommunication] ou l’étude des communautés virtuelles.

Lire la nouvelle complète sur ULaval nouvelles.