Citoyens, chercheurs, cliniciens, intervenants, gestionnaires et décideurs appuient un écosystème apprenant en santé
Les données de santé composent un vaste ensemble d’information disparate. La diversité des formats et de la qualité de ces données n’a d’égal que la diversité des sources de données. Seulement dans le système de santé et de services sociaux, quelques exemples incluent des images et des notes cliniques – manuscrites et d’autres consignées sur des plateformes numériques –, des résultats de projets de recherche en sciences fondamentales ou en santé publique, ou encore des résultats de tests médicaux inscrits aux dossiers médicaux électroniques ou au registre de l’assurance maladie.
Leur disponibilité et leurs modalités d’utilisation sont plus que jamais vues comme étant des éléments clés de l’amélioration du système de santé et de services sociaux.
La récente table ronde « Des données et des gens: construire un écosystème apprenant en santé », tenue dans le cadre de la récente présentation de TechSantéQC, a mis en évidence les bénéfices d’une plus grande et d’une meilleure utilisation de ces données. Elle a également présenté des freins et des facilitants à leur utilisation, ainsi que leur rôle central dans l’atteinte des objectifs du système de santé et de services sociaux.