Ce secteur de recherche multidisciplinaire et très novateur qu’est la médecine régénératrice vise la reconstruction de tissus ou d’organes transplantés chez des patients. Cette approche de traitement mise au point à partir des connaissances dans les domaines du génie biologique et de l’ingénierie des matériaux offre une solution aux problèmes engendrés par le manque d’organes à greffer.
En médecine moléculaire, par ailleurs, on s’est donné pour mission d’étudier les bases moléculaires des pathologies et de mettre au point de nouvelles approches diagnostiques et thérapeutiques à l’aide d’outils moléculaires.
Nos professeurs-chercheurs sont reconnus sur les scènes nationale et internationale dans ce secteur. Leurs expertises sont complémentaires : génomique, protéomique, bio-informatique, signalisation hormonale, chimie médicinale, nanotechnologie, etc.
La recherche sur la reconstruction des tissus est organisée autour des thèmes suivants :
Les chercheurs en médecine moléculaire s’intéressent à l’étude des interactions entre les facteurs génétiques, épigénétiques, hormonaux et environnementaux des maladies complexes. Les principaux thèmes de recherche sont :
Consultez les plus récents articles liés à la thématique :
Les programmes d'études aux cycles supérieurs suivants peuvent être liés à la thématique de médecine régénératrice et moléculaire :
Véronique Moulin, professeure au Département de chirurgie et chercheure au Laboratoire d'organogénèse expérimentale (LOEX), s’est entretenue sur les ondes de Radio-Canada Ontario sur la greffe de tissus humains et les essais cliniques de reconstruction de peau.
« Si, d’ici une dizaine d’années, je pouvais dire à un de ces enfants : " Écoute, je vais prélever quelques-unes de tes cellules et les cultiver en laboratoire afin de développer une paroi " vivante " qui permettra d’agrandir pour de bon ta vessie" , je serai très heureux, car je pourrai dire que j’ai grandement aidé cet enfant-là.»
Stéphane Bolduc, professeur au Département de chirurgie et chercheur au CRCHA
Julie Fradette, professeure au Département de chirurgie et chercheure au CRCHA
Pour contrer les importantes pertes tissulaires à la suite d’un accident, de brûlures profondes et étendues ou d’une mastectomie, Julie Fradette se fie aux propriétés des cellules souches contenues dans les tissus adipeux. Ces cellules multipotentes peuvent se différencier, selon les conditions de culture, en adipocytes ou en plusieurs autres types cellulaires. Aussi, les tissus adipeux reconstruits en laboratoire sont de bons modèles pour effectuer des tests pharmacotoxicologiques.
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